Demain midi j'ai un repas de famille. L'anniversaire de mariage de mes grand-parents paternels. ça fait des mois que je le sais et j'ai décidé d'y aller. Enfin j'ai pas vraiment le choix. Mais voilà ça fait au moins trois noël que je ne monte pas à Paris et cette fois-ci ça à lieu en Vendée à pus d'une demi-heure de chez moi, donc ... Et j'ai cette fichu culpabilité propre à ma famille, qui me pousse à accomplir ce genre de devoirs familiaux dans cette famille fantoche. Une obligation irraisonnée envers des gens avec qui je n'ai aucune affinité et surtout mon père. Pour lui. parce que si j'ai réglé des taxs de truc avec lui, ça c'est toujours là. S afamille. Mon Dieu, Sandy toi tu comprends ce que je veux dire !
Alors j'y vais. J'y vais ... j'y vais ...
Dés le début je savais que ça serait dur mais à l'époque je pensais, du moins j'espérais, que ça irait mieux. Mais à l'intérieur c'est la panique et depuis ce matin c'est l'horreur. Pourtant je suis allé chez le coiffeur, j'ai acheté une coloration mercredi, je me suis trouvé des fringues sympa que j'ai lavé et repassée exprés. J'ai revu le timing avec ma mère. Mais plus j'ai avancé dans la journée plus une partie de moi c'est mis à dire que je n'irais pas. Et elle est de plus en plus présente. Je ne veux pas y aller, je suis complétement nouée de l'interieur. Je me sens raide et depuis une heure la nausée. Et le repas n'est que demain midi !
Je me demande si un jour je pourrais aller mieux. Vivre à nouveau une vie normale comme avant. Même si a bien une réfléchir, depuis l'enfance j'avais déjà des problèmes. Certaines choses qui n'étaient pas obsetionnelles mais qui le sont devenuent ... de plus en plus. Je dois avouer que je déspéspère. Je n'irais pas commettre l'irreparable. Etrangement si je n'ai pus guère d'espoir, je reste encore chevillé corps et ême à la vie. J'ai une soif de voir et de lire et de aussi de créer quand j'y arrive qui me maintient en vie. Alors ces derniers temps je me noie dans un océan de séries. Des bonnes et des mauvaises. Je reste assise à mon ordi pendant des heures comme la baleine flasque que je suis. Et j'oublie tout. Du moins jusqu'au moment il faut sortir. Chercher le courrier, faire des courses, allez chez le médecin, descendre les poubelles, poster de des lettres, aller chez le coiffeur, ... Et là je me reprend tout en pleine figure.
Je ne sais vraiment pas comment je vais faire. Ma mère sera là demain matin et je ne peux pas lui faire ça ... pire... je ne peux pas croire que je sois entrain de penser ça Sandy ... mais je ne peux pas faire aux grand-parents ! Ils seront déçus. Et je me moque de ce qu'ils pensent, mais tout de même. Qu'est-ce que je suis fatiguée de tout ça.
Alors j'y vais. J'y vais ... j'y vais ...
Dés le début je savais que ça serait dur mais à l'époque je pensais, du moins j'espérais, que ça irait mieux. Mais à l'intérieur c'est la panique et depuis ce matin c'est l'horreur. Pourtant je suis allé chez le coiffeur, j'ai acheté une coloration mercredi, je me suis trouvé des fringues sympa que j'ai lavé et repassée exprés. J'ai revu le timing avec ma mère. Mais plus j'ai avancé dans la journée plus une partie de moi c'est mis à dire que je n'irais pas. Et elle est de plus en plus présente. Je ne veux pas y aller, je suis complétement nouée de l'interieur. Je me sens raide et depuis une heure la nausée. Et le repas n'est que demain midi !
Je me demande si un jour je pourrais aller mieux. Vivre à nouveau une vie normale comme avant. Même si a bien une réfléchir, depuis l'enfance j'avais déjà des problèmes. Certaines choses qui n'étaient pas obsetionnelles mais qui le sont devenuent ... de plus en plus. Je dois avouer que je déspéspère. Je n'irais pas commettre l'irreparable. Etrangement si je n'ai pus guère d'espoir, je reste encore chevillé corps et ême à la vie. J'ai une soif de voir et de lire et de aussi de créer quand j'y arrive qui me maintient en vie. Alors ces derniers temps je me noie dans un océan de séries. Des bonnes et des mauvaises. Je reste assise à mon ordi pendant des heures comme la baleine flasque que je suis. Et j'oublie tout. Du moins jusqu'au moment il faut sortir. Chercher le courrier, faire des courses, allez chez le médecin, descendre les poubelles, poster de des lettres, aller chez le coiffeur, ... Et là je me reprend tout en pleine figure.
Je ne sais vraiment pas comment je vais faire. Ma mère sera là demain matin et je ne peux pas lui faire ça ... pire... je ne peux pas croire que je sois entrain de penser ça Sandy ... mais je ne peux pas faire aux grand-parents ! Ils seront déçus. Et je me moque de ce qu'ils pensent, mais tout de même. Qu'est-ce que je suis fatiguée de tout ça.
Alors comment ça c'est passé?
bisous