9 ans déjà ! je me souviens de ce jour comme si s'était hier. J'avais passé le début d'aprem à zappé entre des téléfilms de la 1 et de la 6 (oui je sais), avant de me résoudre à partir chez mon père comme tout les mardi soirs. Trajet de chez ma mère à l'arrêt de bus + bus 38 + jusqu'à chez mon père = même pas 45 minutes. J'avais prié intérieurement pour que ma belle mère ne soit pas rentrée (mon père étant encore au lycée sur) pour pouvoir continuer à mater des mièvreries en grignotant. En ouvrant la porte j'ai entendu la télé. "Meeeeeerde !"
Puis dans le salon je vois P., les yeux rivés à l'écran et l'image d'une des tours en feu. Je me souviens lui avoir demandé si s'était une blague. Elle m'a dit avoir pensé la même chose en l'entendant à la radio. Mais s'était sur toutes les chaînes. Et pourtant, on avait encore du mal à y croire tant ça semblait surréaliste. Même quand PPDA nous en parler ça semblait impossible.
Au mois d'avril suivant je suis partie en voyage scolaire à Chicago pendant 2 semaines. On avait eut peur que le voyage soit annulé. La blessure était encore très fraîche et la guerre en Irak commencé à peine. A l'époque ça bardait entre français et américains. Le dialogue entre les correspondants , les parents et d'autres élèves du lycée avait été intéressants à ce niveau. Avoir l'opinion des américains lambda et non celui de ceux que les médias français voulaient bien relever.
9 ans après, le terrorisme est devenu un des sujets communs des médias, séries, films, etc... Un mot qui est devenu si commun à notre vocabulaire.
Puis dans le salon je vois P., les yeux rivés à l'écran et l'image d'une des tours en feu. Je me souviens lui avoir demandé si s'était une blague. Elle m'a dit avoir pensé la même chose en l'entendant à la radio. Mais s'était sur toutes les chaînes. Et pourtant, on avait encore du mal à y croire tant ça semblait surréaliste. Même quand PPDA nous en parler ça semblait impossible.
Au mois d'avril suivant je suis partie en voyage scolaire à Chicago pendant 2 semaines. On avait eut peur que le voyage soit annulé. La blessure était encore très fraîche et la guerre en Irak commencé à peine. A l'époque ça bardait entre français et américains. Le dialogue entre les correspondants , les parents et d'autres élèves du lycée avait été intéressants à ce niveau. Avoir l'opinion des américains lambda et non celui de ceux que les médias français voulaient bien relever.
9 ans après, le terrorisme est devenu un des sujets communs des médias, séries, films, etc... Un mot qui est devenu si commun à notre vocabulaire.
NCIS: LA est le petit bébé de NCIS. Ou son spin-off si vous préférez. Et comme sa maman l'avait été dans JAG, la série est introduite par un double épisode appelé "Legend" de la saison 6 de NCIS. Dans le jarguon des série, on appelle ça un backdoor pilot ou comment-testé-le-potentiel-d'une-série.
l'agent de terrain féminin (pas si féminin), Sam (
les changement opérés durant son absence. Rien de trés origianal dans ce procédé, qui marche tout aussi bien avec un nouveau venu dans la bande. Il y a donc les nouveaux locaux de l'OSP : un ancien batiment de ville déclaré désaffecté, mais qui à l'interieur ressemble à un ancien hôtel à la déco mexicaine (si si) Seconde nouveauté : pendant l'absence de G. un bleu, Dominic (
Pas vraiment de surprise ici non plus. Ils tentent tous de comprendre pourquoi le gentil marin a coopérer alors que ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Même le dénouement était évident. Et quand on découvre le visage du "méchant", je me suis dit "bhein oui". Mais soyons indulgents, la série pose ses marques.
content que des SEAL (militaires) bafoue les SEAL etc ... tout le long de l'épisode. Si ça c'est pas surjoué ! Les deux seules choses qui pourraient me pousser à regarder cette série sont : Callen G.. Ce personnage a un passé aussi mystérieux que Gibbs et si j'ai bien compris des problèmes de mémoire. Il ne cesse de déménager, n'arrive pas à avoir de vie social et semble une énigme pour lui même. Mais si les scénaristes mettent autant de temps à nous dévoiler le perso qu'ils l'ont fait pour Jethro, ça va pas le faire. Le second point favorable est Hetty, qui me fait diablement penser à Edna des Indestructibles, surtout quand elle s'exclame "for the love of Gucci". La petite dame, admirablement interprétée par Linda Hunt s'occuppe du côté administratif des opération avec poigne et joue les donneuses de conseil à tout ces hommes chargés de testostérone, que ce soit en matière de fringues, de boxe, d'intégration ou d'enquête. Le genre de personnage que j'aime dans une série.
