Il faut l'avouer la nuit avait plutôt mal commencé. Après un dimanche quelque peu ennuyeux et plat, seul le premier épisode de la nouvelle saison de Dr House était venu rehausser le niveau des réjouissances. Mais un épisode c'est cours et à 22h30, après avoir bien tiré sur la corde, je suis allée me coucher.
Évidemment c'est quand on veut le plus dormir qu'on y arrive le moins. J'ai tourné pendant une bonne heure dans mon lit. A tel point que Kyo qui dormait à mes pieds en a eut marre et s'est levé. Je l'ai imité et je suis allée me caler devant "Sydney White and the 7 dorks" avec un chocolat chaud (au passage, Lilie, c'est le plus cucu des films cucu que tu m'a recommandé !)
A 1h44, un bruit de verre brisé me fait sursauté. Je sais précisément l'heure parce que j'ai regardé sur mon ordi en me disant qu'il fallait que j'aille me coucher.
Après c'est confus. J'entendais du bruit qui semblait venir du dessus, sauf que j'habite au dernier étage. Il y avait cet odeur de mercurochrome (cherchez pas) dans le couloir. J'enfile un jean à la place de mon bas de pyjama, un pull et je vais voir sur le balcon si il se passe quelque chose dans la rue. Au passage je croise bibou, les oreilles en alertes, qui n'arrête pas de gronder.
Il y a du monde dans la rue. Mon voisin et sur son balcon et demande ce qui se passe. On lui dit de descendre. J'attrape mon chat. Coup de pot je l'ai emmené chez le véto mardi et sa boîte est resté à côté de la porte d'entrée. Je me retrouve dans un couloir enfumé. Un policier me dit de descendre. Dans les escalier la fumée est de plus en présente. Je fais une crise d'angoisse et j'hyperventile. Je mange littéralement de la fumée de caoutchouc. J'ai l'impression que je vais mourir asphyxié.
Je me retrouve dehors, en pleine nuit, dans la rue, seule, la caisse de mon chat à mes pieds et dans un état de stress et d'angoisse inimaginable. J'appelle ma mère avec mon portable que j'ai eut la présence d'esprit de prendre. Elle me dit de me calmer et de chercher un policier.
On nous a emmené à la gendarmerie juste à côté le temps que les pompier éteigne le feu. On y a passé plus d'une heure. Je me suis calmé comme j'ai pu. Je ne sais pas comment j'ai fait. Ma mère m'a rejoint et m'a ramené plus tard à mon appart.
Maintenant il n'y a plus rien. C'est comme si rien ne s'était passé. Bien sur le couloir du premier et l'entrée sont inondé et il y a du verre dans la rue, mais la nuit à repris sa place. La dernière voiture de flic est partit il y a un quart d'heure.
Je suis naze et l'angoisse m'a laissé sur le carreau (je vais accusé le coup demain), mais je n'arrive pas à dormir. Je ne peux pas m'empêcher d'imaginer ce qui se serait passé si le feu n'avait pas été maitrisé. J'ai toute ma vie dans cet appart. Toute ! Je faisais remarquer à ma mère en plaisantant à moitié, qu'il me restait qu'une boite de pog et des barbies chez elle. En tout cas heureusement que j'étais reveillé. je n'ose imaginer comment j'aurais réagis si c'est les pompiers qui m'avaient tiré du lit ! Ma crise d'angoisse aurait été gigantesque !
Bon je vais quand même essayer de dormir, mais je me sens bizarre.
Évidemment c'est quand on veut le plus dormir qu'on y arrive le moins. J'ai tourné pendant une bonne heure dans mon lit. A tel point que Kyo qui dormait à mes pieds en a eut marre et s'est levé. Je l'ai imité et je suis allée me caler devant "Sydney White and the 7 dorks" avec un chocolat chaud (au passage, Lilie, c'est le plus cucu des films cucu que tu m'a recommandé !)
A 1h44, un bruit de verre brisé me fait sursauté. Je sais précisément l'heure parce que j'ai regardé sur mon ordi en me disant qu'il fallait que j'aille me coucher.
Après c'est confus. J'entendais du bruit qui semblait venir du dessus, sauf que j'habite au dernier étage. Il y avait cet odeur de mercurochrome (cherchez pas) dans le couloir. J'enfile un jean à la place de mon bas de pyjama, un pull et je vais voir sur le balcon si il se passe quelque chose dans la rue. Au passage je croise bibou, les oreilles en alertes, qui n'arrête pas de gronder.
Il y a du monde dans la rue. Mon voisin et sur son balcon et demande ce qui se passe. On lui dit de descendre. J'attrape mon chat. Coup de pot je l'ai emmené chez le véto mardi et sa boîte est resté à côté de la porte d'entrée. Je me retrouve dans un couloir enfumé. Un policier me dit de descendre. Dans les escalier la fumée est de plus en présente. Je fais une crise d'angoisse et j'hyperventile. Je mange littéralement de la fumée de caoutchouc. J'ai l'impression que je vais mourir asphyxié.
Je me retrouve dehors, en pleine nuit, dans la rue, seule, la caisse de mon chat à mes pieds et dans un état de stress et d'angoisse inimaginable. J'appelle ma mère avec mon portable que j'ai eut la présence d'esprit de prendre. Elle me dit de me calmer et de chercher un policier.
On nous a emmené à la gendarmerie juste à côté le temps que les pompier éteigne le feu. On y a passé plus d'une heure. Je me suis calmé comme j'ai pu. Je ne sais pas comment j'ai fait. Ma mère m'a rejoint et m'a ramené plus tard à mon appart.
Maintenant il n'y a plus rien. C'est comme si rien ne s'était passé. Bien sur le couloir du premier et l'entrée sont inondé et il y a du verre dans la rue, mais la nuit à repris sa place. La dernière voiture de flic est partit il y a un quart d'heure.
Je suis naze et l'angoisse m'a laissé sur le carreau (je vais accusé le coup demain), mais je n'arrive pas à dormir. Je ne peux pas m'empêcher d'imaginer ce qui se serait passé si le feu n'avait pas été maitrisé. J'ai toute ma vie dans cet appart. Toute ! Je faisais remarquer à ma mère en plaisantant à moitié, qu'il me restait qu'une boite de pog et des barbies chez elle. En tout cas heureusement que j'étais reveillé. je n'ose imaginer comment j'aurais réagis si c'est les pompiers qui m'avaient tiré du lit ! Ma crise d'angoisse aurait été gigantesque !
Bon je vais quand même essayer de dormir, mais je me sens bizarre.