Je sais jouer au poker ! ça vous fait une belle jambe pas vrai ? En plus c'est pas les vraies règles du poker visiblement. je sais pas quel type (pas du strip hein ^^).
Mon entretien avec ma référante c'est super bien passé. Je disais noir, noir, elle disait blanc, blanc. Je disais gris, gris, elle disait blanc blanc. Je disais blanc, blanc et puis s'en va. Maintenant en y repensant je dis blanc, ok, mais à quel prix ? Alors noir. Vous comprenez pas la méraphore ?
En gros elle m'a dit que je n'avais pas tout testé à l'institut. Que si la thérapie de groupe ne me convenait pas - et après une seconde séance je persiste et signe - on trouverais autre chose. Je peux voir la psy ou le psycho. Il y a des méthodes pour gérer mes angoisses et accepter mon corps afin que je reprène confiance en moi. Le truc c'est que ça fais que deux semaines et blabla et blabla.
Mais ils n'en parlent pas à l'arriver et ils mettent dix plombent à mettre les choses en place ! Je vous jure deux semaines et je pète un plomb alors plus !!! Je sais que c'est pour mon bien mais je vis seule depuis trois ans. C'est moi qui fait mes courses, ma bouffe, mon ménage, qui gère mon temps. Je suis autonome, ici je suis assistée ! Ce n'est pas dans mon caractère et ça ne l'a jamais été. Déjà que c'était dur de dépendre de ma mère et sa voiture. Et je ne parle pas du fait que je suis complétement prise en charge financierement par mes parents !
Les activités sont bien mais ne dure qu'1h30 et le reste du temps il y a de gros blancs. XD je m'ennuie disons le clairement.
Les points positifs :
Je ne suis plus déprimée. Angoissée certes. J'ai un manque de confiance en moi énorme, je suis d'accord. Mais la dépression est partie. La bête vient me voir de temps en temps, mais ce n'est guère plus qu'un coup de blues parfois aggravé par la fatigue. je suis à des années lumière de ce que j'étais il y a trois ans. J'ai encore du mal à croire, que je me suis retrouvée assise sur le sol de la salle de bain, les lames d'un rasoir jetables, que j'avais cassé, sur mes veines !
J'arrive à m'intégrer sans difficultés. Quelques peurs résistent encore et toujours mais je les balaye d'un revers de main. Je me sens accepté et ça me met du baume au coeur. Même les soignants présents à mon entretien pensaient que j'aurais plus de difficultés. Je m'en tire bien contenu de mon passif et de mes troubles. Good !
Dans un autre ordre d'idée, je suis angoissée depuis que j'ai appris que mon père viendrait ce lundi 30 juin au lieu du 9 juillet après mon mois de coupure. D'autant plus qu'il ne vient pas avec ma mère (qui vient le 8 juillet), mais seul. Un rendez-vous familiale avec juste mon père. Une thérapie juste avec mon père. Je tremble !
En gros elle m'a dit que je n'avais pas tout testé à l'institut. Que si la thérapie de groupe ne me convenait pas - et après une seconde séance je persiste et signe - on trouverais autre chose. Je peux voir la psy ou le psycho. Il y a des méthodes pour gérer mes angoisses et accepter mon corps afin que je reprène confiance en moi. Le truc c'est que ça fais que deux semaines et blabla et blabla.
Mais ils n'en parlent pas à l'arriver et ils mettent dix plombent à mettre les choses en place ! Je vous jure deux semaines et je pète un plomb alors plus !!! Je sais que c'est pour mon bien mais je vis seule depuis trois ans. C'est moi qui fait mes courses, ma bouffe, mon ménage, qui gère mon temps. Je suis autonome, ici je suis assistée ! Ce n'est pas dans mon caractère et ça ne l'a jamais été. Déjà que c'était dur de dépendre de ma mère et sa voiture. Et je ne parle pas du fait que je suis complétement prise en charge financierement par mes parents !
Les activités sont bien mais ne dure qu'1h30 et le reste du temps il y a de gros blancs. XD je m'ennuie disons le clairement.
Les points positifs :
Je ne suis plus déprimée. Angoissée certes. J'ai un manque de confiance en moi énorme, je suis d'accord. Mais la dépression est partie. La bête vient me voir de temps en temps, mais ce n'est guère plus qu'un coup de blues parfois aggravé par la fatigue. je suis à des années lumière de ce que j'étais il y a trois ans. J'ai encore du mal à croire, que je me suis retrouvée assise sur le sol de la salle de bain, les lames d'un rasoir jetables, que j'avais cassé, sur mes veines !
J'arrive à m'intégrer sans difficultés. Quelques peurs résistent encore et toujours mais je les balaye d'un revers de main. Je me sens accepté et ça me met du baume au coeur. Même les soignants présents à mon entretien pensaient que j'aurais plus de difficultés. Je m'en tire bien contenu de mon passif et de mes troubles. Good !
Dans un autre ordre d'idée, je suis angoissée depuis que j'ai appris que mon père viendrait ce lundi 30 juin au lieu du 9 juillet après mon mois de coupure. D'autant plus qu'il ne vient pas avec ma mère (qui vient le 8 juillet), mais seul. Un rendez-vous familiale avec juste mon père. Une thérapie juste avec mon père. Je tremble !