breched

Come into my world

écrit le Lundi 7 mai 2007 à 1:46

Commentaire que j'ai laissé sur le blog de degraal :

   " Je suis contre l'idée d'aller manifester contre l'élection de Sarko, même si je voulais voter contre lui.  Le truc c'est que nous devons accepter le jugement de la démocratie, même si parfois ses résultats sont affligeants. Nous avons la chance de pouvoir voter. Un pouvoir que nous considerons comme acquis, mais pas si récent quand on y réfléchit bien

Et même si je n'aime pas un être capable de dire "nettoyer les cités au carsher" (je dis ça en tant que blanche issue de la classe moyenne), je n'irais pas le comparer à Hitler non plus, même si je comprend ce que veux dire hurricanes-in-me. Le mot démocratie ne veut pas tout dire

    En fait dans tout ça c'est les mentalités le problème. Car, ce qu'il y a d'affligeant et qui semble être passé à l'as, c'est que Lepen est arrivé 4éme au second tour avec 11,8% des voix et que c'est de notoriété publique qu'une partie de son éléctorat à voté Sarko et que les autres se sont empressé de faire de même au 2nd tour
    Et puis, entre nous, je ne crois pas que les français été prés à mettre une femme sur "le trône"
    Mais je garde espoir quand même espoir. 85% de votants et beaucoup de participation chez les jeunes = ça veut dire que ces mentalités changent. Il faudra peut-être attendre encore une génération, mais Rome ne s'est pas faite en un jour après tout

    Tout ça pour dire que si ces élections laisse un goût amer dans pas mal de bouche, tout n'est pas perdu. Alors rendez-vous aux législatives. Si la gauche l'emporte, on pourra peut-être faire pencher la balance après 12 ans de droite au pouvoir. Et cette fois-ce encore ce serra "la démocratie" qui aura parler"

    J'ignore si j'ai bien exprimé mon opinion, mais certaines choses que j'ai lues sur ce blog m'ont choquées et outrées

    Quand à celuiquiplane, tu m'as mis dans un com : "
Mais tu peux te rassurer parce que au moins ça te fait quelque chose de pas avoir voter. C'est déjà ça"
    Merci, Tu as parfaitement raison. Et c'est ce dont je me suis rendue compte, après le premier tour. Je ne me sentais pas integrée dans tout ceci. Je ne m'étais pas interrogée plus que ça et je ne m'étais jamais imaginé me pencher un jour sur la politique, mais après ces deux semaines, je découvre un nouveau pan de ma personnalité que j'avais ignoré jusqu'ici. Je ne veux pas être un mouton. Je veux profiter de ce "privilège", car à l'échelle mondiale s'en est un, ce droit à s'exprimer par le vote
    Certain diront que j'ai deux semaines de retard, mais s'en rendre compte à 21 ans tout juste sonné, je me considère veinarde et censée (en toute humilité). Dans ce que mon beau-père appelle ma naïveté, j'espère n'être pas la seule "jeune" à en être arrivé à cette conclusion. C'est en faisant des erreurs que nous avançons. Nous ferons mieux la prochaine fois

écrit le Dimanche 6 mai 2007 à 20:00

Les jeux sont faits



C'est partie pour 5 ans. La démocratie s'est exprimée
On se revoit pour les législatives

 

écrit le Dimanche 6 mai 2007 à 19:33

J'AI PAS VOTE !!!

    J'ai envie de hurler et envie de vomir tellement je suis écoeurée par cette phrase. Depuis deux semaines, je ne cesse de me remettre en question. Je voulais voter à gauche. Il n'y avait pas de question à se poser. Je voulais voter vert. Même avant d'avoir 18 ans, je disais que je voterais écolo. La question ne se posait pas. Toute personne me connaissant un minimum vous le confirmerait. Même quand on me disait "Vote Ségolène, il faut une femme au pouvoir", je disais que je voterais vert, même si leur représentant est un homme. Au final, ça à été une femme. Mais comme beaucoup de personnes de gauche, j'ai voté Royal pour contrer Sarkozy. Puis les résultats et je me rend compte que je n'avait absolument pas prise en compte Bayrou. Je m'en veuxx. Sansation d'avoir joué les moutons. Alors oui j'ai voté, mais avec un bandeau sur les yeux. Donc depuis deux semaines, je ne cessais d'y penser, de me remettre en question du point de vue de ma citoyenneté

    Ce soir, je suis arrivée à 18h30 à mon bureau de vote, parce que j'avais passé le week-end chez ma mère, et on m'a rit au nez. OUI ! Rie au nez !!! "Mais les votes sont fermés depuis 18h00" ! et "Plus tard c'est seulement dans les grandes villes !" J'habite La Roche sur Yon = préfécture de la Vendée !!! Autant dire sa capitale. C'est pas une grande ville ça !?! Alors je n'ai pas voté. Non, sentiment de nausée. Certain trouveront ça exagéré j'imagine, mais voilà : je ne me sens pas citoyenne. Une personne va représenter notre pays, notre nation. Même si ma voix seule n'aurait rien changée, même si tous les sondages donnent Sarko gagnant, j'aurais le sentiment de ne pas avoir participé à ça

Plus que 28 minutes

écrit le Jeudi 3 mai 2007 à 23:56

    Ma peau se craquèle, se fendille et se fèle petit à petit. Elle sèche de ne plus être touché, d'être à peine survolée, ignorée, snobée. Elle m'étouffent, me démange, m'enserre dans un étau mortel. Envie de la déchirer, de la lacérer, de la vomir morceaux par morceaux jusqu'à avoir un goût de bile dans la bouche. Envie que l'on me touche, que l'on m'embrasse, que l'on me carresse, que l'on m'étreigne, que l'on me prenne et que l'on m'aime jusqu'au bout de la nuit. Envie d'exister quelque part pour quelqu'un

***

    2 crises d'angoisses en deux semaines. La dernière comme je n'en avais plus eut depuis longtemps, mais la première trop près des lames de mon cuteur. Ma pensée s'est blessée à les effleurer de trop près. Rèpulsion. Pas encore. Je ne veux pas. Mais si seule. Si seule au lever, au petit déjeuner, la matinée, à midi, l'après-midi, au diner, le soir devant la télé, le soir dans mon lit, au milieu d'une foule, dans un repas de famille, à mon atelier de poterie. Seule à en crever de douleur

***

    Envie que tout s'arrête, mais je ne peux pas. Je suis obligée de continuer de vivre. Parce que mes grand-parents ne cessent de me demander comment je vais, parce que ma mère est toujours là et que ça la tuerait, parce que mon père, parce que mon frère, parce que Lili, Sandy, Cat et tout les autres. Parce que les autres, mais pas parce que moi. Parce moi je crie dans le vide, je pleure face au néant de la solitude, parce que j'aime des chimères et vit par procuration

***

    Combien de temps encore ? La douleur dans la poitrine est encore là. On dirait un poignard planté dans mon sternum. La respiration est redevenu normale, les larmes ont séchées, elles. Les pleures hysteriques sont finis. Je ressemble a un panda. Quelle idée de me maquiller pour la poterire ? Pour quoi et pour qui ? Et surtout combien de temps encore ?

écrit le Mercredi 2 mai 2007 à 17:08

[...]

    Absente depuis 5 jours sur ce blog. Absente de ma vie depuis bien plus longtemps. Trop longtemps. Absente d'urbania depuis plus d'un mois peut-être. Je m'excuse auprès des urbaniens qui me lisent
     Je n'explique pas pourquoi. J'ai du mal à me raccrocher à quelque chose. Envie d'appeler Sandy, Lilie et Cat. Mon brother aussi. Envie de leur parler. Envie de discuter sur msn avec Cherry. Désolé, je suis nulle comme amie en ce moment. Envie de lui demander : "alors fille ou garçon ?" et "comment se porte le traffic d'after-eight"
    Envie de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, DE PARLER, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler, de parler
, de parler ...
    Envie d'exister ...

[...]

écrit le Vendredi 27 avril 2007 à 5:06

... Fatigue ... sommeil ... rêve. L'aile d'un oiseau. Elle s'agite. Frénétiquement. Puis s'arrête un cours instant. Le temps d'un courant ascendant, qui l'amène là-haut dans les nuages. Elle plane. Elle sent le vent qui glisse sur ses plumes. Si elle avait un cœur cette petite aile, il battrait fort. Très fort. Grisée par cette légèreté, par cette liberté. L'aile se remet à battre. Elle frappe l'air de toutes ses forces et elle continue de monter, de monter, de monter ... mais l'oxygène se fait de plus en plus rare, ainsi que le sang dans ses veines. Le cœur là-bas, à cesser de battre et la petite aile se laisse tomber, tomber, tomber,... réveil

écrit le Jeudi 26 avril 2007 à 17:37

    Une lettre, retrouvée au cours d'un de mes ménage par le vide. Une lettre jamais envoyée. Peut-être que j'aurais dû, peut-être que non ... Une lettre qui date d'un an environ. Pourquoi vous la mettre ? Pourquoi la relire maitenant ? Un acharnement ? Ma mère m'a un jour  dit que je ne voulais pas être heureuse. Mais hier, il a appellé et ces longs silences, ces phrases pour combler le vide m'ont donné le tourni


Cher papa

    J'ai choisi la lettre, car je ne crois pas avoir la force de te dire ces mots en face. Je t'aime. Malgré tout le mal et la déception, que je t'ai donnés et que tu m'as donné, je t'aime. Rien ne pourra changer ça
    Je me suis battu pour toi, papa. Ce dernier mois sous ton toit tout particulièrement. Je sais que tu ne le reconnaîtras pas. Que tu ne l'as pas vu. Mais j'ai pourtant fait des efforts. Me lever avant dix heure, maintenir ma chambre rangée et propre, aider à la cuisine sans que l'on me l'ai demandé, me proposer pour le pain et d'autres courses et être sociable. Et quand P* (ma belle-mère) a eut son opération, je l'ai aidé du mieux que j'ai pu. Même quand j'avais les mains gonflées comme des ballons de football et que ça me faisait un mal de chien. Même quand j'aurais préféré rester dans ma chambre, blottie au fond de mon lit et dans le noir, toute seule
    Mais j'ai fait ces efforts, même si tu ne les as pas vu. Je n'attend pas de merci - c'était normal - mais seulement que tu les reconnaisses
    Je regrette ce geste que j'ai eut papa. J'ai voulu qu'elle se taise, mais plus aucuns mots ne pouvaient sortir de ma bouche tellement j'avais la gorge nouée par les sanglots. J'avais des larmes sur mes joues comme toutes les autres fois où P* me parlait ainsi, comme toutes les fois où j'ai voulu vous dire à quel point vous vous trompiez sur mon compte tout les deux

    Je voulais prendre sa main, mais il y avait son bandage, alors je lui ai donné un coup. J'ai retenu ma main, papa. Je voulais lui faire mal c'est vrai. Aussi mal que ces mots, aussi mal que sa dernière phrase, mais j'ai retenu ma main. Tu dois me croire. Je savais qu'elle était handicapée. J'ai retenu mon coup
    Alors oui, je m'excuse. Auprès d'elle et auprès de toi. Mais je pense aussi avoir droit à des excuses. Peut-être que par cette lettre, je gâche tout. Peut-être que j'aurais du m'aplatir comme je l'ai toujours fais, mais je ne peux plus. Je n'en ai plus la force
    J'ai aimé P* pendant longtemps, papa. Ça n'a pas été comme pour R* (mon beau-père). Et j'aime me souvenir de P* comme la femme qui m'a ramené le petit poney rose, que j'avais oublié chez elle. Comme la personne qui m'a donné mon tout premier polypocket. Celle qui m'a appris à skier et à pratiquer le ski-bar. Celle qui m'a fait ma première couleur, même si ce n'était qu'une mèche. Des vacances en Corse. Elle était mon exemple féminin, plus que maman, qui ni connaissait pas grand-chose en la matière. Elle était vraiment ma "belle-mère", ma deuxième maman
    Je ne sais pas ce qui a dérapé. Si c'est moi ou elle, qui a commencé. La question n'est plus là maintenant. Tu a été surpris quand maman t'as avoué, que mon geste à moi ne l'avais pas surpris, elle. Mais ça fait des années que ça avait changé, papa. Depuis que D* (la fille de ma belle-mère) est partit de la maison à mon avis, même si L* (mon frère) pense que c'est surtout depuis la mort de mamé ( la mère de ma belle-mère). Je sais que la perte d'être chers est douloureuse. Je l'imagine en tout cas. Mais déjà avant c'était dur. Et ça n'excuse pas tout
    J'ai toujours eut l'impression que l'on m'attendait au tournant avec vous, que quoique je fasse, je serais en faute. Que quoi je dise ou pense, je serais en tort. Comme si P* attendait la moindre de mes fautes. C'est bien simple, la seule chose qui ait eut l'air de vous faire plaisir, depuis ces six dernières années, c'était le théâtre. C'était la première fois que je voyais tes yeux briller et que les compliments de P* avaient l'air véritablement sincères. C'était aussi la première fois depuis longtemps, que je te voyais prendre ton appareil photo pour m'immortaliser. On ne peut pas vivre ainsi, papa
    J'ai eut mal toutes ces années. Chez maman, c'était horrible avec R*. Lui aussi me faisait mal avec ces mots. C'était comme des brûlures cuisantes. Mais je me suis tu pour toi et pour elle. Parce que c'est eux, que vous aviez choisit pour être heureux, même si j'avais la sensation qu'ainsi j'avais été relégué au second plan. Comme si on m'avait lésé de quelque chose. Du droit à avoir une famille
    Mais je ne vous en veux pas. J'ai des amis dont les parents sont toujours mariés et se déchirent tous les week-ends. Je préfère que vous vous soyez séparé plutôt que d'être resté ensemble pour L* et moi. Je connais ma chance
    Mais j'ai eut mal. Mal à en crever, papa. Je crois que j'ai pensé pour la première fois au suicide en quatrième. Je n'ai rien dit, mais à l'époque un petit malin de ma classe s'amusé à me persécuter pendant les cours de musique. Je ne sais pas pourquoi, mais il y en a toujours eut dans mes classes, qui me prenait comme tête de turc. Sauf que celui-là m'a vraiment fait mal dans mon être. Et quand je rentré le soir avec le cœur lourd, j'allais crier et pleurer un coussin contre mon visage, pour pas que vous m'entendiez. Mais je n'ai rien dit. Je me suis concentré sur mes études, pour qu'un jour vous soyez fier de moi comme vous l'étiez de L* ou de D*, et j'ai chassé mes mauvaises pensées de ma tête
    Elles sont toujours restées là papa. Tu dis que je ne me bats pas, mais il m'en a fallu de l'énergie pour les repousser. Et plus le temps passé et plus elles revenaient C'est comme ça que j'ai commencé à avoir le "vertige". Parce que j'avais peur de ne pas pouvoir me retenir de sauter. J'y avais pensé. Ainsi qu'au médocs, c'est de la que viens mon aversion des traitements thérapeutiques. Puis bien sur, j'ai pensé au rasoir, mais j'avais bien trop peur de la douleur. Je me souviens avoir dit à mes amies que j'étais trop lâche, même pour ça
    J'ai tenu environ deux ans ainsi. Mais en Vendée, ça allait si mal. Je me sentais tellement seule et abandonnée, que j'ai de nouveau faillit craquer après être tombée par hasard sur les lames de Rodolphe. Maman ne l'a jamais su et j'ai été interné à Vontes juste après. Quand j'en suis sortit j'étais heureuse, si heureuse, que je pensais que rien ne pourrait me résister et que plus jamais je n'y penserais. J'ai l'ai cru pendant près d'un an. Même quand je me voyais décliner
    Mais je me suis battu. Même si ce n'était pas visible, je l'ai fait. Je me suis battu contre moi-même. Contre cette bête en moi, qui me dit que c'est là le seul moyen de ne plus avoir mal et de ne plus vous encombrer et vous décevoir vous tous. Qu'il n'y a pas d'autres issus et que rien n'ira mieux
    Plus j'allais mal, plus il me fallait de force pour me battre contre elle, moins j'en avais pour faire le reste. C'est pour ça que tu dois comprendre l'effort que ce dernier mois chez toi a exigé de moi. Si tu mets par-dessus les trois jours que j'ai du passer chez L* à votre retour de Nouvelle Calédonie, alors que je n'avais qu'une envie : te revoir, et le stresse du BAC, tu peux comprendre à quel point j'étais à bout de nerf ce jour là
    Ce n'et pas peut-être pas un excuse tout ce que je viens de te dire. Et peut-être que la dureté de P* et le fait que tu ne l'ais jamais contredit sont faux. Mais pour moi, ils sont mon excuse à vous deux
    Mais tout ça n'est pas fini. Je ne sais pas, si un jour tu comprendras à quel point les autres et leur regard me font mal. A quel point leur jugement est pire qu'un un anathème pour moi. A quel point ça me rend malade. Mais tu dois savoir que ce n'est pas fini
    Car aujourd'hui encore tu me dis que j'ai renoncé. Que si je réagissais, j'irais mieux. Le problème vois-tu, c'est que la bête a de nouveau gagné, papa. Et que j'ai beau me dire que c'est faux, mais la seule lumière au bout du tunnel, que je vois, n'est pas celle de la liberté, comme vous le croyez maman et toi
    Tu sais la chute que j'ai faite, quand je me suis blessé le bras, c'était ça. J'avais pris un de mes rasoirs jetables pour commettre l'irréparable. J'ai eut peur et j'ai ressentit le besoin de parler à mes amis de la clinique. J'ai courut. Je suis tombé. Deux jours plus tard, j'ai cassé l'un des rasoirs pour récupérer les lames et je me suis entaillé tout le poignet gauche, dans l'idée d'en finir. J'ai eut trop mal et je me suis rendu compte que je voulais toujours autant vivre. Même s'il n'y a plus aucuns espoirs pour moi
    C'est comme ça que l'hospitalisation est à nouveau venue sur le tapis

    Tu dis que je ne me bats pas, papa. Mais c'est- faux. Je me bats tous les matins dès l'instant, où je réalise que je suis encore vivante, et que je vais encore vivre cet horrible quotidien qu'est ma vie. Parce que je ne veux pas vous faire de peine à maman et toi. Mais je n'en peux plus. Tu dois comprendre ça
    Je me bats, papa. Pour qu'un jour tu sois à nouveau fier de moi, comme en mai dernier, et que tu me prenne encore une fois dans tes bras comme sur cette photos de nous deux que j'aime tant
Essaye de me comprendre. J'ai besoin de ton amour
Je t'aime
Ta fille M*****

écrit le Mercredi 25 avril 2007 à 7:37

Quelque part au-dessus de l'arc-en-ciel

Ooooo oooooo ohoohohoo
Ooooo ohooohoo oooohoo
Ooooo ohoohooo oohoooo
Oohooo oohoooho ooooho
Ooooo oooooo oooooo
Ooooo oooooo oooooo

Somewhere over the rainbow
Quelque part au-dessus de l'arc-en-ciel
Way up high
Toujours plus haut
And the dreams that you dreamed of
Et les rêves dont tu as rêvé
Once in a lullaby
Une fois dans une berceuse

Somewhere over the rainbow
Quelque part au-dessus de l'arc-en-ciel
Blue birds fly
Les oiseaux bleus volent
And the dreams that you dare to dream
Et les rêves dont tu as rêvé
Really do come true
Ces rêves deviennent vraiment réel

Someday I'll wish upon a star

Un jour j'aimerai être sur une étoile
And wake up where the clouds are far behind me

Me réveillez là où les nuages seraient loin derrière moi
Where troubles melt like lemon drops

Là où l'ennui fond comme neige au soleil ("un citron tombe" dans le texte o_O)
High above
Way up above the chimney tops that's where you'll find me
Au-dessu des cheminés, c'est là que vous me trouverez

Somewhere over the rainbow
Quelque part au-dessus de l'arc-en-ciel
Blue birds fly
Les oiseaux bleus volent
And the dream that you dare to,why, oh why can't I? i iiii
Et le rêve qui te pousse à, pourquoi, oh pourquoi je ne peux pas ?

Well I see trees of green and
J'aperçois des arbres verts
Red roses too
Des roses rouges également
I'll watch them bloom for me and you
Je les verrai s'ouvrir pour toi et moi
And I think to myself
Et je pense tout bas
What a wonderful world
Quel monde merveilleux

Well I see skies of blue and I see clouds of white
Je vois des cieux bleus et des nuages blancs
And the brightness of day
Et l'éclatance du jour
I like the dark and I think to myself
J'aime le noir et je pence tout bas
What a wonderful world
Quel monde merveilleux

The colors of the rainbow so pretty in the sky
Les couleurs de l'arc-en-ciel, si jolies dans le ciel
Are also on the faces of people passing by

Sont aussi sur les visages des passants
I see friends shaking hands
Je vois des amis se serrer la main
Saying, "How do you do?"
Se dire "comment vas-tu"
They're really saying, I...I love you
En réalité ils se disent "je t'aime"
I hear babies cry and I watch them grow
J'entends des bébés pleurer et je les vois grandir
They'll learn much more
Ils apprendront bien plus
Than we'll know
Que je n'en saurai jamais
And I think to myself
Et je pence tout bas
What a wonderful world (w)oohoorld

Quel monde merveilleux

Someday I'll wish upon a star
Un jour j'aimerai être sur une étoile
Wake up where the clouds are far behind me
Me réveillez là où les nuages seraient loin derrière moi

Where trouble melts like lemon drops
Là où l'ennui fond comme neige au soleil
High above the chimney top that's where you'll find me
Au-dessu des cheminés, c'est là que vous me trouverez
Oh, Somewhere over the rainbow way up high
Quelque part au-dessus de l'arc-en-ciel, toujours plus haut
And the dream that you dare to, why, oh why can't I? I hiii ?
Et le rêve qui te pousse à, pourquoi, oh pourquoi je ne peux pas ?

Ooooo oooooo oooooo
Ooooo oooooo oooooo
Ooooo oooooo oooooo
Ooooo oooooo oooooo
Ooooo oooooo oooooo
Ooooo oooooo oooooo

écrit le Mercredi 25 avril 2007 à 6:52

    Tous les psy du monde pourront dire ce qu'ils veulent. Ils pourront dire que mes problèmes viennent du divorce de mes parents lorsque j'avais 1 an. Mais moi, je sais la vérité. Le problème, c'est toutes les phrases que je n'ai jamais pu finir
    C'est même plus que ça. C'est aussi toutes celles que je n'ai jamais pu dire. Celles qui étaient potentiellement là, dans ma bouche et dans ma tête. Celles que j'aurais voulu prononcer, mais qui furent étouffées faute d'interlocuteur. Ce sont celles que je voudrais crier et, qui me brûle la poitrine à y rester cachées. Celles qui m'auraient fait exister
    C'est toutes ces phrases que j'ai prononcées en entier, mais qui n'ont pas été écouté. Toutes ces notes d'humour incomprises et parfois même mal-comprises. Ces concepts philosophiques minorées. Ces idées piétinées. C'est ce père trop absent de ma vie et cette mère, qui s'efface de plus en plus depuis mes onze ans
    Le divorce n'est rien, c'est le reste qui va avec le problème. Les deux maisons se n'est rien, c'est le reste qui va avec. Les vacances séparées se n'est rien, c'est le reste qui va avec. C'est les nouvelles moitiés, à qui on ne reproche jamais rien, de peur de les perdre à leur tour. C'est l'absence de véritables foyers. De lieu définit par les mots : "chez moi". C'est les vacances dans la famille de l'autre, encore et toujours, et les endroit qu'il choisit
    C'est l'absence d'identité. L'impression, qu'en cour de route, on a oublié qui on était

écrit le Dimanche 22 avril 2007 à 20:14

Sarko vs Ségolène

    Pas vraiment une surprise. C'est ce que tout le monde annoncait. Un choque - ou un dégoût en tout cas - LePen arrive 4éme sur 12 !!! Comment ce genre de chose est encore possible ! Les verts et dominique Voynet - pour qui j'aurais voulut voté - sont à la traine avec 1,5%. ! Merci pour la nature et désolé pour les "étrangers" ! XD En tout cas, plus de 85% des français ont voté et ça c'est beaucoup mieux que les dernières éléction.

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