breched

Come into my world

écrit le Lundi 26 février 2007 à 21:59

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    Journée agréable aujourd'hui. Enfin, si on fait abstraction du fait, que c'est la deuxième fois que je me reveille à 3h du mat' sans réussir à me rendormir T_T Ah oui, et puis de ma sublime coupe de cheveux (voir dessin ci-dessous) qui donnait l'impression que j'avais passé la nuit à côté d'un ventilateur ou d'un réacteur d'avion !!! J'ai été obliger de me relaver les cheveux et de me faire un broche, pour obtenir un bon résultat. Et encore j'avais quelques épis persistants XD

    Man' a débarqué chez moi à 8h30. Elle venait de passer 1 semaine et demi dans la région iséroise et elle a prit le train de nuit pour rentrer. Et comme elle habite en dehors de La Roche et  que moi je crêche juste à côté de son boulot, elle est venu prendre une douche et le p'tit déj' avec moi, avant d'aller travailler. ça faisait du bien de la revoir et de plaisanter avec elle. Elle m'a dégoter le dernier Marc Levy à 12 € au lieu de 21 dans un Gibert et le DVD de "Shane Black's Kiss Kiss Bang Bang" (je vous en reparlerais) à 9,90 € seulement à la Fnac. On a pas ces magasins ici XD Elle m'a aussi rapporté de la tome de savoie. Mmmmmmmmmmh, c'est qu'elle me connait ma moumoune ^^

    Pendant qu'elle était encore là, le copain de mon chat est revenu. Ou je devrais plutôt dire sa copine ^^ Son ex-copine :( J'ai eut l'opportunité de vérifié ça, alors que je la prenais dans mes bras pour la faire sortir. Elle a pas aimé lol, mais maintenant je le sais et je l'ai baptisé "Juliette". La pauvre, c'est la quatrième fois qu'elle entre chez moi. Elle fouille partout, renifle, se frotte contre les meubles, puis elle tourne comme un lion en cage. ça me fait de la peine. Parce que finalement c'est pas elle qui est venu me présenter ses "condoléances" après la mort de bibou, mais un autre chat du quartier. Ils ont le même pelage. Du coup Juliette ça lui va. Elle a perdu son premier amour. On se comprend.

    J'ai pianoté sur mon ordi et j'ai joué aux sims le reste de la matinée. Mum est revenu vers 13h30 pour déjeuner avec moi et faire une sieste. Moi j'ai écrit. C'était géniale. ça coulait comme de l'eau de source. ça fait longtemps que je n'avais pas ressentie ça. j'ai écrit comme je respirais ^happy^ J'aime

    Rien de très glorieux ou de quoi ameuter les foules le reste de la journée. Mais ça c'est dérouler comme du papier à musique. J'aime vraiment cette sensation. Comme une léger ru sillonnant entre les roches et la mousse, sous les chênes centenaire. Sensation d'apaisement ...

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écrit le Lundi 26 février 2007 à 21:15


écrit le Samedi 24 février 2007 à 16:14

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Je suis passé en premium et pour l'instant beuuuuuuuuuuuurk !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

édité à 16h45 : déjà un peu mieux XD

re-édité à 17h51 : je suis assez satisfaite du résultat. Faut juste que je me fasse une bannière maintenant XD. Dites moi ce que vous en pensez ...
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écrit le Samedi 24 février 2007 à 5:32



    Donc comme vous pouvez le voir, la première (et dernière pour l'instant T_T) pièce que j'ai joué, s'appelait La machine infernale et parle d'Oeudipe. Je jouait un petit rôle (20 minutes d'appariton). Je peux vous le dire, mais à moins d'avoir lu la pièce ... Je jouait une paysanne, une matrone XD, rentrant à thèbe, et qui croise le sphinx sous sa forme de jeune fille. Je lui raconte ma vie. J'avais trois longues tirades. Une, où je contais un événement (que je faisais trés mal), une où je m'enervais (je l'ai jamais joué mieux que sur scène, pendant les répét, je me lachais pas), et une émouvante, où je parlais de la mort d'un de mes fils (paraît que je la réussissait trés bien ^^)
    J'aimerais remonter sur les planches. Je ne sais pas comment j'ai fait à l'époque. Mon let motive était que je ne pouvait pas abandonner. Ce n'était pas le cours de théatre du lycée, mais un groupe amateur, géré par une de nos CPE. Si je les lachais,ils n'avaient personne pour me remplacer. On comptait sur moi. Nous avons jouait trois soirs de suite. Je ne me suis jamais sentie aussi vivante que c'est trois soirs là. Dans toute ma vie. Ces trois soirs ont été des bouées de sauvetage, plus tard, quand ça c'est remis à foiré dans ma vie
    Et aussi, je me souviendrais toujours du regard de mon père, quand je suis sorti des coulisses. Il n'y avait presque plus personne dans la salle, mais il avait le menton fierement levé et les yeux, qui semblaient crier "c'est ma fille!". Comment ne pas être heureuse après ça.
    Ce regard, comme j'aimerais le retrouver ! Le lendemain, il devait me ramener, alors il est venu plus tôt pour le second acte et a essayé de prendre des photos (ça à pas marché hélas). Ma cousine de Paris m'avait dit qu'il les avait montré au noël suivant en même temps que les photos de leur nouvelle maison
    Puis ma belle-mère (et ça faisait des siècle que je n'avais pas eut de compiment pareil), mon frère et sa copine et enfin ma prof de litterature et surtout la CPE. Elle a dit qu'au début elle était perplexe et qu'au final je m'étais trés bien débrouillée. Ils étaient tous surpris et ravie par ma prestation.
    Alors plus tard, quand j'aurais un peu plus de confiance en mois ^^

    A côté du tract je vous ai scanné la couv' de mon premier livre de fantastique. Je voulais que vous puissiez voir combien il avait vécu, mais ça ne se voit pas. Je l'ai lu, relu, re-re-lu, je ne sais pas combien de fois ce livre. Il est dans mon top-ten d'ailleurs ^^ Il y en a six en tout et je vous les conseille vivement

écrit le Samedi 24 février 2007 à 4:23

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    J'aimerais bien passer en premium. Que cette page me ressemble plus. Mais en même temps, je n'utilise que 1% de ma mémoire actuelle et il faudrait du temps pour creer cette page. Du temps que j'ai mais que je dois employer à autre chose. Cette semaine j'ai reçu mon formulaire d'inscription à mon examen (en octobre). Faut vraiment que je me mette à bosser moi XD Alors premium pas pour tout de suite. Parce qu'en plus je veux le décorer de mes propres dessins, donc ... encore plus de temps à mettre. Plus tard. Ouais plus tard ...

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écrit le Samedi 24 février 2007 à 4:15

    Je repense à une scène du film Basketball diary. Le personnage principale, interprété par un Léonardo Dicaprio jeune, se ballade avec sa bande de pôtes le soir dans la rue. Ils croisent une amie, qui leur demande d'un air angoissé s'ils peuvent pas lui prêter un peu de fric. Qu'elle en a besoin pour s'acheter sa prochaine dose et que promis elle les remboursera
    Ils acceptent. Elle sourit reconnaissante. Et là, ils balancent devant elle, une poignet de pièces de monnaie, dont la moitiée va dans le caniveau. Elle hésite, puis se jette à genoux et essaye d'en récuperer le maximum. Les garçons rient d'elle et s'en vont. Ils la méprisent, ainsi que tous ceux qui sont comme elle. Qui ont perdu toute dignité fasse à la drogue
    Quelque temps plus tard, les rôles sont inversés et c'est Dicaprio, qui se retrouve entrain de demander un peu de fric à la fille. Il est en manque jusqu'aux yeux et elle semble s'en être tirée. A son tour elle lui jette une poignet de piéces. Ils n'ont pas voulu l'aider, elle fait de même. Et c'est sans hésiter qu'il se retrouve à quatre pattes sur le macadam pour récuperer les piecettes
    Je me sens un peu comme lui. Je sais que d'ici quelques jours ça ira mieux, quand les effets de mon antidep referont leur boulot dans ma p'tite tête, mais bon

    A noter que le film est pas mal et qu'il est tiré d'un livre de Jim Caroll. Une bio

Dans Yuk !

écrit le Samedi 24 février 2007 à 3:54

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    Le titre paraîtra bizarre à ceux, qui ne me connaissent pas. Pas d'histoire de drogue dans tout ça, nan. En tout cas pas de drogue illégal. Je touche pas à ça moi, je ne fume pas et ma tolérance à l'alcool est très limitée. Seulement deux ou trois ans, que je commence à boire aux fêtes de famille, et seulement le vin blanc sucré et dou
    Alors quoi. Mes médocs. Toujours eux. Je me sens flagada en ce moment, je me sens plus sombre, plus mélancolique. mais rien de romantique la-dedans. Un repli sur moi-même que je ne connais que trop bien. Une envie de noir, de solitude. Les rêves de gouttes de sang, qui reviennent. L'angoisse au ventre tout le temps. Je me met hors-ligne de façon permanente sur msn, parce que pas envie de parler (dsl à vous tous), je filtre le téléphone (merci à celui qui à eut l'idée d'inventer le répondeur et à celui qui à permis que l'on puisse voir le numero indicatif de celui qui appelle XD)
    Alors je prend mes anxio. Je les ai à la demande, alors j'en profite. Je sais que je ne devrais pas. Plus j'en prens, plus j'en aurais besoin pour faire des choses, parce que ces petites-bêtes on s'y accoutume. Parce que l'on a besoin de dose de plus en plus forte pour qu'ils fassent effet. Et tout arrêter d'un coup je peux pas. Je me suis déjà retrouvé à cours et le résutat à était effrayant. J'étais en manque. Comme les junkies. Je n'accoutumais plus. Les sonneries ou les bruits brusques, me rendaient complétement malade
    Sauf que là, je constate ce matin avec horreur, qu'il ne m'en reste plus que 2 et demi ! Quoi !!! Affolement et me voilà, qui fouille partout pour en retrouver. Je met tout sans dessus de dessous. Je vais même jusqu'à reprendre ma valise, en esperant que j'ai oublié une boite dedans après mes vacs chez mes grand-parents. Des boite, il y en avait. Sourire. Mais pas mes anxiolitique. Merde. Mes antidepresseurs. Affolement
    Comprenez bien, ma valise je l'ai rangé vendredi dernier, donc si mes antidep sont encore dedans, ça veut dire que tout ce temps, je n'ai pas pris mon traitement. Effore de réflexion (dure parce que pas d'anxio dans le sang). Une semaine sans traitement, normal que j'étais aussi mal ! Merde, c'est la troisième fois que ça m'arrive. J'oublie. Il faut dire que le matin je pionce, donc je prend pas mon premier cachet, et le soir je suis scotché à mes écrans, donc j'oublie l'autre
    Bon je prend mon cachet du soir. Respire, retrouve avec joie une tablette à peine antamée d'anxio dans mon sac-à dos. De quoi tenir jusqu'à lundi aprem ou demain matin, si je passe une bonne nuit. Je me sens mal de devoir encore appelé mon medecin, pour qu'elle me refournissent "en drogue", j'ai l'impression d'appeller un dealer de cam. C'est que je ne sais pas quand je revois ma psy, moi. Je veux pas prendre de risques. Alors je vais ravaler ma fierté une fois de plus
    Pour ceux qui diront "ne prend pas de médocs", je répondrais, oui au début je n'en prenais pas et je n'en voulais pas. "Non", "Hors de question de prendre ces horreurs", "Je vaux mieux que ça etc" ... Mais c'est comme les psy, ils sont necessaires. Et comme les psy j'en ait eut pleins de traitements différents et depuis que je suis sous Xanag et Seroplex, je me sens mieux. Le coktail molotof contre la sociophobie, il paraît. En tout cas, la difference à été énorme. Deux mois aprés avoir commencé (temps minimale pour qu'un antidp fasse effet, et oui! XD), on pouvait voir la difference
    Mais un jour j'arrêterais. Un jour je pourrais m'en passer

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écrit le Jeudi 22 février 2007 à 22:48

Arvin Sloane est-il méchant OUI ou NON !?!


écrit le Jeudi 22 février 2007 à 21:50

Visuel Audtif Kinesthésique Olfactif Gustatif

1ère consigne : faire un tableau à deux colonnes. Dans la première, mettre des premières fois, réelle ou imaginaire (ces éléments resteront personnelles = non lu). Dans la seconde faire un descriptif rapide du lieu

2ème consigne : Lire deux des descriptions de lieu (les "première fois" s'y reportant seront mise de côté pour la suite de la séance)
    - Dans la salle de bain de mon logement étudiant. Seule. Un soir. La musique hard rock du voisin en arrière fond
    - Peut-être en classe de Cm1 ou alors dans ma chambre, sur mon petit bureau encombré de pots à stylos dont la plus part ne fonctionnaient plus

3éme consigne : assigner un sens prédominant pour chacune des "premières fois"

4éme consigne : écrire un texte parlant d'une des première fois en vous basant sur le sens, que vous lui avait attribué

    Ça devait être un mois d'août ou de juillet. En tout cas s'étaient les grandes vacances, celles entre ma sixième et ma cinquième. J'avais donc douze ans. J'étais en Corse avec mon père et le reste de notre tribu recomposé.
    Il faisait très chaud. J'avais un mini-short en jean, un débardeur rose et des tongs. Les vraies tongs. Vous savez ! Semelle en caoutchouc noir, avec des lanières couleurs arc-en-ciel. Ma peau était noircie par le soleil et ce dernier, conjugué au sel, avait blondit mes chevaux, que je portais alors mi-long.
    C'était entre midi et deux, on s'était arrêté dans un Coccinelle pour faire le plein de notre frigidaire et de quoi faire un super pique-nique. Des concombres, des tomates, du maïs et des pattes multicolores pour la salade, des petits paquets de chips et des pèches juteuses, que l'on mangerait sur une air d'autoroute ou au camping sur la table pliante rouge, dans des assiettes en carton blanc et notre "sublime" service en plastique bleu transparent. Les vacances quoi !
    Et soudain, je l'ai vu. Il reposait sur un minuscule présentoir en fer vert gris. Ce sont d'abord les couleurs de la couverture qui ont accrochées mon regard. Principalement dans les tons de bleus et de violet, hormis quelques taches de couleurs chaudes. Puis en m'approchant, le dessin devint plus précis. Que faisait ce dragon mâchoires béantes entre deux couvertures noires de policier et les autres couleurs pastel des arlequins et romans de gare ? Intriguée, je l'ai saisi et l'ai feuilleté. Il y avait le carton et le papier sous mes doigts et leur odeur de neuf. Ça m'a plue. J'en ai lu l'arrière, avec curiosité. Quelques mots, qui semblaient chanter à mes oreilles.
    Ma belle-mère était déjà à la caisse. Je ne me souviens plus des mots, que j'ai employé pour la convaincre, mais je suis sortie du magasin, ce livre serré contre moi, dans un soleil d'été.

5éme consigne : écrire un texte parlant d'une des première fois en vous basant sur les 5 sens = le VAKOG.

    Plus que quelques minutes avant le début. Je sais, que je n'apparais pas avant le deuxième tiers du second acte, et que j'ai donc en fait encore une bonne demi-heure devant moi, mais j'ai tout de même le tract.
    Dans les vestiaires du gymnase, qui se sont transformés en coulisse pour l'occasion, règne un fouillis invraisemblable. Des vêtements de ville se mêlent aux costumes de théâtre. Une Jocaste à demi-maquillé, portant une perruque de Cléopâtre apparaît, l'air angoissé, et tenant un crayon noir à la mine cassée. Tirésias est assis contre le mur, en position zen, les yeux clos. Il sent le talc, qu'il s'est mis dans les cheveux pour se vieillir.
    Dehors, des gardes fument une cigarette avec le fantôme de Laïus, pour se détendre, et rient nerveusement. Je n'entends que les murmures de leur voix, qui filtrent par la porte donnant sur la cour. Le bruit des spectateurs couvrent leur voix, mais laisse entendre un son de guitare au loin. Sûrement notre Oedipe qui change les idées du sphinx et de mon fils. Ils n'entrent qu'au deuxième acte, tout comme moi. Je me demande où sont passé Anubis et l'ivrogne, alors que je vais pour la quinzième fois aux toilettes.
    J'ai les mains moites et mon châle me colle à la peau. Il me gratte et irrite mon cou. Je n'arrête pas de la repousser mais il  revient toujours. Je bois un peu d'eau à une bouteille. On ne peut pas utiliser les éviers, car l'eau dans les canalisations fait un boucan d'enfer. Elle est trop fraîche et a le goût de mon rouge à lèvre. Yerk ! Impossible de me détendre. Comment vais-je faire ?
    Notre metteuse en scène de CPE débarque en trombe. Elle rassemble ceux qu'elle peut d'entre nous. Nous demande de nous calmer et surtout de donne e meilleur de nous-même, puit repart à son post, derrière la table de contrôle des spots.
    Trois coups secs retentissent. Les lumières et les conversations s'estompent peu à peu dans la salle. Nous sommes tous fébriles. Les coeurs commencent et mettent en route la machine infernale. Nous nous blottissons derrière les tentures noires, qui entourent la scène, et épions nos camarades entres les interstices. Les dialogues s'échangent, les acteurs jouent et évoluent sur la scène. Mon tour va bientôt arriver.
    J'ai l'estomac encore un peu noué, mais je suis prête. Qu'importe le publique, si j'oublie mon texte, le costume. Je suis prête.

écrit le Mercredi 21 février 2007 à 8:52

    Alors juste comme ça. Pour ceux, qui aiment autant que moi le dessin que j'ai mis en illustration dans mon précédent article. Il n'est pas de moi. Pas si douée que ça moi. Il est de Frodon. Non, non pas le hobbit du seigneur des anneaux. Quoique, si j'ai bien compris, une certaine ressemblance existerais entre le dessinateur et l'acteur Elijah Wood XD Bref, je vous met un lien pour son blog (je l'avais déjà mis sur l'image du couple en fait), parce que je trouve vraiment ça beau. Et croyais moi, c'est un doux euphémisme ^^



 
et une autre pour la route ^_^

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