breched

Come into my world

écrit le Mercredi 17 janvier 2007 à 16:22

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http://img411.imageshack.us/img411/6078/tlgx8.gif    Vais mieux. Une soirée devant un DVD (Underworld 2)  + avec dans la main droite des gâteaux arabes et  + de l'autre mon chat, que je caressais, ça m'a requinqué.

    Petit plus : le DVD, je suis allée le louer, et les gâteaux, je les ais acheté en même temps. Donc : je suis sortie et je suis allée plus loin que ma poubelle. Yahoo !!! Petite victoire perso sur mes phobies ^^

    Autre plus, quand j'ai ramené le DVD au distributeur  (1,50
euro pour moins de 6h!), un inconnu m'a demandé mon nom et m'a dit qu'il était très joli (mon prénom : maya ;P) et que j'étais bien charmante. Bon je vous entends déjà. Un inconnu, qui vous accoste comme ça, c'est louche. Mais ça met du baume au coeur quelqu'un qui vous remarque. Même si c'est peut-être un pervers ... ça vous enlève la sensation d'être invisible. Et puis je ne suis pas inconsciente non-plus ! Il m'a proposé de me raccompagner et j'ai poliment refusée ^^

    Bref tout ça pour dire que je me sens mieux qu'hier soir. mais je suis malade, donc rdv chez le medecin vendredi (s'il y a de la place)

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écrit le Mardi 16 janvier 2007 à 20:48

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    J'ai le blues, le blues de tout. Un spleen, qui m'habite depuis deux jours.
Deux jours que j'ai tout le temps envie de dormir, de vomir, la migraine qui me mine la tête. C'est bizarre.

    Et hier, le coup de file à mon père. Parce qu'il fallait bien le remercier de son chèque et lui souhaiter une bonne année, non ? Les silences lourds. Je ne sais pas quoi lui dire. Avant de raccrocher, je lui souhaite encore une bonne année et patin couffin et qu'il passe le mot à ma  "très chère" belle-mère. Parce qu'il faut être polie, sauvée les apparences. Et lui qu'est-ce qu'il fait ? Il me la passe pour que je lui dise moi même ! Je vous jure, après ça j'ai eut envie de me prendre une bonne cuite. Ce que j'aurais fait, si j'avais eut de l'alcool sous la main, si j'avais aimé être ivre, si j'avais aimé l'acool surtout. Alors abrutissement devant la télé. pas d'autres choix.

   
Un lien avec le rendez-vous chez la dieteticienne de cet aprem, je suppose. Ce rendez-vous que j'ai manqué d'ailleurs. Sans compter celui de la psy, puis l'atelier d'écriture où je devrais être en ce moment. Pour tout vous dire, en comptant bien, ça fait sept mois que je n'ai pas mis les pieds sur une balance. Et rien que l'idée de me retrouver en petite tenue sur l'une d'elle ... A être mesurée, détaillée, pesée par un regard inconnu ... Et y penser, ça m'a rappellé à quel point je hais mon corps et je deteste ça. Je deteste me detester.

    Et cerise sur le gâteau, ma mère est venue remuer le couteau dans la plaie. "Trois ans que ça dure et regarde ! Pas d'évolution" J'en pouvais plus, j'avais tellement envie qu'elle se taise. Et elle qui se met à pleurer en me disant qu'elle sait plus quoi faire, qu'elle en a marre que malgrés tous ces efforts, je ne vais pas mieux. "Qu'est-ce que tu comptes faire ? Quand est-ce que tu vas enfin réagir ?" Ces mots qui me poignardent le coeur.

    Je suis fatiguée ce soir. Fatiguée.
  
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écrit le Mardi 16 janvier 2007 à 15:11

    Pour répondre à thana ce que j'appelle deviant et un site : deviantart, , une fois que l'on y est inscript, on peut "exposer" ses oeuvres. Je n'ai pas approfondis mes connaissances du site, car, pour mon plus grand malheur, le site est en anglais T_T. Mais je "crois" qu'il y a aussi des concours. On trouve de tout, de la photo au crayonné, de l'aquarelle aux travail sur pixels
    Dans la même veine vous avez Allfanarts, en français cette fois, qui propose en plus des tutoriaux pour l'aide aux dessins en tout genre. C'est avec eux que j'ai créé ma première doll, toute seule comme une grande avec mes petites mimines et une base (ci-contre)

    En bref, ce sont des sites, qui te permettent de communiquer avec des personnes, qui s'interessent à l'art, et avec qui tu peux échanger, qui peuvent même t'aider, quand tu rencontres des problème, et te permettre ainsi d'avancer
    J'espère avoir répondu à ta question. Le mieux c'est d'aller y faire un tour pour voir. L'inscription est dans les deux cas gratuite, mais sur deviant, je crois que tu dois payer pour pouvoir personnaliser ta page et mettre plus de productions (ou déviations). Quand à Allfanart, tu pourras te créer une petite doll, qui te servira t'avatar. Et si tu gagnes des concours, tu peux gagner des pépites, qui te permetront de le personnaliser encore plus. Je vous met la mienne

Dans les deux cas, mon pseudo est breched

écrit le Mardi 16 janvier 2007 à 14:27

    Un petit hommage à LitchPrune, qui m'a gentillement "rassurée" sur la population française de deviant LOL
    J'adore certaines de ses photos. Des instant de la vie quotidienne. En voilà une qui devrait vous mettre l'eau à la bouche


écrit le Samedi 13 janvier 2007 à 17:40

Kikou les jeun's  ^_^
     



Un p'tit message pour rappeller ou apprendre à ceux,

qui ne le savaient pas encore,

que je sévit aussi sur déviant art. 
















J'ai d'ailleurs profité de cette "magnifique"

après-midi grise pour enrichir mon compte

de plusieurs déviations.












Voilou


Bon surf






écrit le Jeudi 11 janvier 2007 à 10:50

    Le poème, qui suit est un texte, qui me tiens particulierement à coeur. Pour deux raisons. D'une c'est mon premier véritable poème. J'exclue les poèmes pour la fête des mères ou des pères et ceux écrits pour des interros de français. Pourquoi ? Parce que, et c'est ma deuxième raison, j'y ais mis toute mon âme. J'ai deversé des flots de lignes sur une feuille et je les ai prises et reprises jusqu'à leur faire dire exactement ce que je voulais, ce que je ressentais, jusqu'à ce qu'elles sonnent à mes oreilles comme une mélodie
    J
'en fais trop ? Mais ce poème, c'est un poème d'amour profond, un voeux d'amitié sincère, une profession de foi. Et si vous ne le comprenez pas, passer votre chemin


Toi & Moi

Quand tu me parle de toi
Quand tu me parles de ta vie
C'est tout un tas de blabla
Sur des choses vachements pourries
Alors je suis venus te proposer
D'abandonner ton chemin accidenté
Et à la place, venir emprunter le mien
Lui, il est inscrit dans les lignes de ma main
Il n'est pas plein de rois
De paillettes et de projecteurs
Mais il est bien assez droit
Pour te garder de toutes tes peurs
Ici, pas d'amitiés perdues
Pas plus que d'amours déchus
Ici, pas besoin de faux semblants
Laisse masques flotter aux vents
Lui, il est pavé du quotidien
Du bien comme du mauvais
Mais, mes doigts entrelacés aux tiens
Sauront comment te faire avancer
Bien sur, ce n'est pas forcément pour la vie
Mais si tu le veux on fera comme si
Moi, je veux juste pouvoir t'aider
Qu'enfin tu puisses à nouveau respirer
Et ils pourront bien dire ce qu'ils veulent
Tout ce flot de tricheurs et de menteurs
Ils diront que notre amour est veule
Eux qui prétendent vouloir ton bonheur

Mais bien qu'eux, ils s'imaginent tout savoir
Ils ne voient que ce qu'ils veulent bien voir
Par contre, moi, je te connais par coeur
Pour cela, pas besoin d'être âme soeur
Moi, je n'écoute que toi
Quand tu me parles de ta vie
C'est tout un tas de blabla
Sur des choses vachements pourrie

C'est pour cela, que je suis venu te proposer :
"Laisse tomber ton chemin accidenté
Et viens dons emprunter le mien
Il te suffit de me donner la main"

"Viens tout les deux on sera bien"

écrit le 07/01/2004

 

écrit le Mercredi 10 janvier 2007 à 17:07

Senteurs



    Chacun son truc pour se souvenir. Proust avait sa madeleine, Chateaubriand le chant d'une grive et moi, j'ai les senteurs. Tout comme le grenouille de Süskind, elles renferment tout un tas d'images de mon enfance

    L'odeur de pomme me rappelle la compote de ma mamie. Sans colorant ni conservateur. Celle faite maison avec les fruits du jardin, que mon papi était allé ramasser avant ça et avait laissé mûrir dans une corbeille, posée sur la table de la cuisine
    Cette senteur appelle celle de la cannelle. Douce mélodie épicée. Mezzo voce, quand elle se trouve encore dans son pot, elle devient plus forte que tous les orchestres du monde au contact du fruit chaud. Accompagné de quelques galettes bretonnes, ça reste l'un des meilleurs desserts, que j'ai goûté
    Quant à celle du chocolat, elle et mon péché mignon. Rien que de l'humer, j'en sens déjà le goût dans ma bouche. Je peux presque entendre le carreau craquer sous mes dents et le sentir fondre sur ma langue. C'est l'éternel goûter. La barre entre deux tranche de pain après l'école ou encore le bol de chocolat chaud en revenant du ski.
    Cette odeur m'est aussi plaisante, que celle du pop-corn. C'est le cinoch, la salle obscure et la main qui plonge dans le paquet, en tentant de faire le moins de bruit possible, tout en sachant qu'elle n'y arrivera pas. C'est James Bond et ses innombrables gadgets et poursuites de voitures. C'est le cri de surprise contenu. L'attente d'un baiser du héro à sa belle. La musique d'un disney. Un éclat de rire partagé
    C'est la cannette de coca, pour se rafraîchir, qui s'ouvre dans un "pschitt" gracieux, et que l'on avale goulûment, avant qu'il ne soit plus frais et qu'il est perdu toutes ses bulles.
    C'est le distributeur de chewing-gum plein de boules multicolores, qui fait tant rêver qu'en on est gosse. Et ce n'est que plus tard, quand on a bien grandi, que l'on se rend compte de leur horrible goût chimique. Mais l'odeur et le rêve reste
    Bien différente, celle plus naturelle de l'orange, quand on l'épluche, parait s'accrocher aux doigts, comme si elle se glissait dans chaque pores de notre peau. Et posées sur un radiateurs, ses épluches diffusent leur odeur musquée encore longtemps après
    Il y a aussi celle de la menthe poivrée, qui pousse à côté de la porte de la cuisine de notre maison de vacance familiale, et qui vient ajouté sa petite touche à nos taboulés estivaux. C'est la plage, la mer et les pique-niques
    Ou encore la lavande, que l'on coupe en été, et que l'on tresse ou égraine dans de petit sac fleuris. Enfermés dans nos placards, enfouis sous une pile de vêtements, ils continuent de nous faire vivre la belle saison, du bout d'une chaussette à un bandeau de ski, même au plein coeur de l'hiver.
    Il y a aussi la noix de coco, odeur discrète, presque inexistante. Mais aspergée sur un poignet, elle évoque les tropiques, le voyage, l'évasion, ...
    Il y a tant et tant de senteurs que je pourrais te conter. Tant de souvenirs et de plaisirs minuscules auxquels elles sont raccrochées. Cachées dans les plis et replis de mon cerveau, elles sont ma mémoire, mon passé, mon âme. Elles sont des millions, mais je te rassure : il y a bien encore assez de place pour la tienne et des milliards d'autres

écrit le 30/07/04

écrit le Dimanche 7 janvier 2007 à 13:26

    "J'ai mis plus de temps que les autres, j'ai dû marcher seule trés souvent, mais j'ai pu aller jusqu'au bout uniquement parce que j'ai respec mon rythme. Désormais, j'applique cette leçon à tout ce que je dois faire"

-Maktub- Paulo Coelho

écrit le Dimanche 7 janvier 2007 à 12:00

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    C'est étrange la vie. Définitivement. Parfois vous rencontrez des gens et vous devenez ami avec eux, là où vous vous y attendiez le moins
    Internet peut paraître si froid, si mort vu de loin. J'ai toujours pensé, qu'il n'y avait rien de mieux que le contact, que les regards, qui se croisent et les sourires échangés
    Et pourtant depuis quelques temps, je rencontre des gens via le net et je partage avec eux des mots, que je n'ai pas pour les "vivants". Je m'y dévoile plus qu'ailleurs et depuis je me sens plus "moi", que je ne l'ai jamais été depuis longtemps. Et l'ai-je jamais été ?
    Hier soir ou plutôt cette nuit, une nuit d'insomniaque, on a discuté pendant plus d'une heure, peut-être même deux, sur msn (tu te reconnaitras) et ça m'a fait un bien fou. Te parler, echanger des experiences, des "sourires", des larmes ...
    Il parait que l'on sort grandit de chaque nouvelle experiences, de chaque nouvelles rencontres. Et bien hier soir, quand je suis allée me coucher, j'étais une géante
    Alors  merci. Ce post, je te le dédie, à toi, et à ta chérie aussi ;-) Parce que je suis ravie d'avoir fait votre connaissance à tous les deux

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écrit le Vendredi 5 janvier 2007 à 10:04

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J'ai le moral, ne vous y tromper pas, et même trois jours que ça dure, mais je ressens le besoin d'écrire cet article
    Après avoir écris un com à laika, alors que j'allais cliquer sur "poster commentaire", je réalisais ceci : "il y a à peine plus d'un an, tu as tenté de mettre fin à tes jours. Il y a un an jour pour jour, tu étais sur le quai de la gare et tu disais aurevoir à ta mère comme si c'était la dernière fois, parce que tu savais qu'une fois rentré che toi tu allais réessayer. Tu n'avais plus de rêves, tu ne croyais plus en rien. Mais pourtant aujourd'hui tu es là. Tu vas cliquer sur ce bouton"
    C'est bizarre, car quand je fais le bilan de ma vie, en un an, il n'y a pas eut tant de changements. Et pourtant je suis là et j'ai envie d'y croire. J'ai envie de vivre
Comme c'est étrange la vie ...

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