breched

Come into my world

écrit le Samedi 31 mars 2007 à 14:33

    Un truc dingue ? Ma mère n'a lu - ou plutôt entendu - ce poème que vendredi dernier. Pourtant la page de la lettre K de mon abécédaire comporte un seul mot, écrit avec des lettres de journaux découpés : Kaléidoscope. Comment expliquez-vous ça ?
    De plus, elle a choisit la chanson de Goldman de la page G en fonction des paroles. Parce qu'il parlait de chiffres. Elle n'avait jamais entendu la chanson auparavant et je ne lui en avait jamais parlé non-plus. Elle la trouvé grâce à paroles.net. Et bien figurez-vous, qu'il s'agit d'une de mes préférées o_o
    ça fou les jetons. Mais d'une certaine façon, ça montre aussi à quel point, sans s'en rendre compte, nous sommes sur la même longueur d'onde

    Je ne changerais jamais ce poème. Je ne vis pas dans le passé et je ressasse encore moins. J'ai dépassé ce stade horrible de la dépression. Mais je ne peux oublier qui j'ai été. Ou pour être plus précise, je ne veux pas l'oublier. Car c'est ce qui fait la "Maya" d'aujourd'hui. Bonnes comme mauvaises choses. ET sans vouloir paraître narcissique, je suis fière de la personne que je suis. Car si je ne m'accepte pas encore physiquement, je me revendique

écrit le Samedi 31 mars 2007 à 0:24

    J'avais écrit ce poème en seconde. La prof de français avait mis plusieurs mots au tableau ainsi que des répétitions de verbes ou des suites de mots et l'on devait faire un poème avec.

écrit le Dimanche 18 mars 2007 à 21:19

    Vous avez déjà relu d'anciens textes, que vous aviez écrit ? En fouillant dans votre ordinateurs ou dans votre ou vos journaux intimes (pour ceux qui en ont eut) ? Moi, ça m'est arrivé. ça m'a permis de me souvenir de très bons moments, mais aussi de constater, ou plutôt de confirmer, que mes problèmes étaient bien, bien antérieurs à ce que croyaient mes parents

    En voici un écrit il n'y a pas si longtemps. Je n'y ai fais aucunes modifications. A vous de juger

    Tous les psy du monde pourront dire ce qu'ils veulent. Ils pourront dire que mes problèmes viennent du divorce de mes parents lorsque j'avais 1 an. Mais moi, je sais la vérité. Le problème, c'est toutes les phrases que je n'ai jamais pu finir
    C'est même plus que ça. C'est aussi toutes celles que je n'ai jamais pu dire. Celles qui étaient potentiellement là, dans ma bouche et dans ma tête. Celles que j'aurais voulu prononcer, mais qui furent étouffées faute d'interlocuteur. Ce sont celles que je voudrais crier et, qui me brûle la poitrine à y rester cachées. Celles qui m'auraient fait exister
    C'est toutes ces phrases que j'ai prononcées en entier, mais qui n'ont pas été écouté. Toutes ces notes d'humour incomprises et parfois même mal-comprises. Ces concepts philosophiques minorées. Ces idées piétinées. C'est ce père trop absent de ma vie et cette mère, qui s'efface de plus en plus depuis mes onze ans
    Le divorce n'est rien, c'est le reste qui va avec le problème. Les deux maisons se n'est rien, c'est le reste qui va avec. Les vacances séparées se n'est rien, c'est le reste qui va avec. C'est les nouvelles moitiés, à qui on ne reproche jamais rien de peur de les perdre à leur tour. C'est l'absence de véritables foyers. De lieu définit par les mots : chez moi. C'est les vacances dans la famille de l'autre, encore et toujours, et les endroit qu'il choisit
    C'est l'absence d'identité. L'impression, qu'en cour de route, on a oublié qui on était

écrit le Samedi 10 mars 2007 à 18:15

    J'avais déjà fait un article sur cet atelier d'écriture ICI, mais je tenais à vous donner l'extrait que j'avais choisi. Il est cours mais puissant. Il se dégage de la violence de ses mots je trouve

    "Le tank part comme un fou et il est très excité. Ce n'est pas un pére qui cherche son enfant. Le tank cherche meurtre incendie et perforation. Son chant n'est pas pour plaire. Son chant grinçant c'est sa chenille de fer pour conduire au haut de ses pentes, à travers haies, à travers barbelés, à travers maison et murs, vers l'homme, vers le construit par l'homme, et pour taper, cracher dessus sa mitraille et tout réduire à rien, à cendre, à gravats, à la hauteur des rats ou des bassets et ensuite s'en retourner satisfait"

PS : Je ne connais malheureusement pas le nom de l'auteur. je ne l'ai pas noté dans mon cahier. sorry



écrit le Samedi 24 février 2007 à 5:32



    Donc comme vous pouvez le voir, la première (et dernière pour l'instant T_T) pièce que j'ai joué, s'appelait La machine infernale et parle d'Oeudipe. Je jouait un petit rôle (20 minutes d'appariton). Je peux vous le dire, mais à moins d'avoir lu la pièce ... Je jouait une paysanne, une matrone XD, rentrant à thèbe, et qui croise le sphinx sous sa forme de jeune fille. Je lui raconte ma vie. J'avais trois longues tirades. Une, où je contais un événement (que je faisais trés mal), une où je m'enervais (je l'ai jamais joué mieux que sur scène, pendant les répét, je me lachais pas), et une émouvante, où je parlais de la mort d'un de mes fils (paraît que je la réussissait trés bien ^^)
    J'aimerais remonter sur les planches. Je ne sais pas comment j'ai fait à l'époque. Mon let motive était que je ne pouvait pas abandonner. Ce n'était pas le cours de théatre du lycée, mais un groupe amateur, géré par une de nos CPE. Si je les lachais,ils n'avaient personne pour me remplacer. On comptait sur moi. Nous avons jouait trois soirs de suite. Je ne me suis jamais sentie aussi vivante que c'est trois soirs là. Dans toute ma vie. Ces trois soirs ont été des bouées de sauvetage, plus tard, quand ça c'est remis à foiré dans ma vie
    Et aussi, je me souviendrais toujours du regard de mon père, quand je suis sorti des coulisses. Il n'y avait presque plus personne dans la salle, mais il avait le menton fierement levé et les yeux, qui semblaient crier "c'est ma fille!". Comment ne pas être heureuse après ça.
    Ce regard, comme j'aimerais le retrouver ! Le lendemain, il devait me ramener, alors il est venu plus tôt pour le second acte et a essayé de prendre des photos (ça à pas marché hélas). Ma cousine de Paris m'avait dit qu'il les avait montré au noël suivant en même temps que les photos de leur nouvelle maison
    Puis ma belle-mère (et ça faisait des siècle que je n'avais pas eut de compiment pareil), mon frère et sa copine et enfin ma prof de litterature et surtout la CPE. Elle a dit qu'au début elle était perplexe et qu'au final je m'étais trés bien débrouillée. Ils étaient tous surpris et ravie par ma prestation.
    Alors plus tard, quand j'aurais un peu plus de confiance en mois ^^

    A côté du tract je vous ai scanné la couv' de mon premier livre de fantastique. Je voulais que vous puissiez voir combien il avait vécu, mais ça ne se voit pas. Je l'ai lu, relu, re-re-lu, je ne sais pas combien de fois ce livre. Il est dans mon top-ten d'ailleurs ^^ Il y en a six en tout et je vous les conseille vivement

écrit le Jeudi 22 février 2007 à 21:50

Visuel Audtif Kinesthésique Olfactif Gustatif

1ère consigne : faire un tableau à deux colonnes. Dans la première, mettre des premières fois, réelle ou imaginaire (ces éléments resteront personnelles = non lu). Dans la seconde faire un descriptif rapide du lieu

2ème consigne : Lire deux des descriptions de lieu (les "première fois" s'y reportant seront mise de côté pour la suite de la séance)
    - Dans la salle de bain de mon logement étudiant. Seule. Un soir. La musique hard rock du voisin en arrière fond
    - Peut-être en classe de Cm1 ou alors dans ma chambre, sur mon petit bureau encombré de pots à stylos dont la plus part ne fonctionnaient plus

3éme consigne : assigner un sens prédominant pour chacune des "premières fois"

4éme consigne : écrire un texte parlant d'une des première fois en vous basant sur le sens, que vous lui avait attribué

    Ça devait être un mois d'août ou de juillet. En tout cas s'étaient les grandes vacances, celles entre ma sixième et ma cinquième. J'avais donc douze ans. J'étais en Corse avec mon père et le reste de notre tribu recomposé.
    Il faisait très chaud. J'avais un mini-short en jean, un débardeur rose et des tongs. Les vraies tongs. Vous savez ! Semelle en caoutchouc noir, avec des lanières couleurs arc-en-ciel. Ma peau était noircie par le soleil et ce dernier, conjugué au sel, avait blondit mes chevaux, que je portais alors mi-long.
    C'était entre midi et deux, on s'était arrêté dans un Coccinelle pour faire le plein de notre frigidaire et de quoi faire un super pique-nique. Des concombres, des tomates, du maïs et des pattes multicolores pour la salade, des petits paquets de chips et des pèches juteuses, que l'on mangerait sur une air d'autoroute ou au camping sur la table pliante rouge, dans des assiettes en carton blanc et notre "sublime" service en plastique bleu transparent. Les vacances quoi !
    Et soudain, je l'ai vu. Il reposait sur un minuscule présentoir en fer vert gris. Ce sont d'abord les couleurs de la couverture qui ont accrochées mon regard. Principalement dans les tons de bleus et de violet, hormis quelques taches de couleurs chaudes. Puis en m'approchant, le dessin devint plus précis. Que faisait ce dragon mâchoires béantes entre deux couvertures noires de policier et les autres couleurs pastel des arlequins et romans de gare ? Intriguée, je l'ai saisi et l'ai feuilleté. Il y avait le carton et le papier sous mes doigts et leur odeur de neuf. Ça m'a plue. J'en ai lu l'arrière, avec curiosité. Quelques mots, qui semblaient chanter à mes oreilles.
    Ma belle-mère était déjà à la caisse. Je ne me souviens plus des mots, que j'ai employé pour la convaincre, mais je suis sortie du magasin, ce livre serré contre moi, dans un soleil d'été.

5éme consigne : écrire un texte parlant d'une des première fois en vous basant sur les 5 sens = le VAKOG.

    Plus que quelques minutes avant le début. Je sais, que je n'apparais pas avant le deuxième tiers du second acte, et que j'ai donc en fait encore une bonne demi-heure devant moi, mais j'ai tout de même le tract.
    Dans les vestiaires du gymnase, qui se sont transformés en coulisse pour l'occasion, règne un fouillis invraisemblable. Des vêtements de ville se mêlent aux costumes de théâtre. Une Jocaste à demi-maquillé, portant une perruque de Cléopâtre apparaît, l'air angoissé, et tenant un crayon noir à la mine cassée. Tirésias est assis contre le mur, en position zen, les yeux clos. Il sent le talc, qu'il s'est mis dans les cheveux pour se vieillir.
    Dehors, des gardes fument une cigarette avec le fantôme de Laïus, pour se détendre, et rient nerveusement. Je n'entends que les murmures de leur voix, qui filtrent par la porte donnant sur la cour. Le bruit des spectateurs couvrent leur voix, mais laisse entendre un son de guitare au loin. Sûrement notre Oedipe qui change les idées du sphinx et de mon fils. Ils n'entrent qu'au deuxième acte, tout comme moi. Je me demande où sont passé Anubis et l'ivrogne, alors que je vais pour la quinzième fois aux toilettes.
    J'ai les mains moites et mon châle me colle à la peau. Il me gratte et irrite mon cou. Je n'arrête pas de la repousser mais il  revient toujours. Je bois un peu d'eau à une bouteille. On ne peut pas utiliser les éviers, car l'eau dans les canalisations fait un boucan d'enfer. Elle est trop fraîche et a le goût de mon rouge à lèvre. Yerk ! Impossible de me détendre. Comment vais-je faire ?
    Notre metteuse en scène de CPE débarque en trombe. Elle rassemble ceux qu'elle peut d'entre nous. Nous demande de nous calmer et surtout de donne e meilleur de nous-même, puit repart à son post, derrière la table de contrôle des spots.
    Trois coups secs retentissent. Les lumières et les conversations s'estompent peu à peu dans la salle. Nous sommes tous fébriles. Les coeurs commencent et mettent en route la machine infernale. Nous nous blottissons derrière les tentures noires, qui entourent la scène, et épions nos camarades entres les interstices. Les dialogues s'échangent, les acteurs jouent et évoluent sur la scène. Mon tour va bientôt arriver.
    J'ai l'estomac encore un peu noué, mais je suis prête. Qu'importe le publique, si j'oublie mon texte, le costume. Je suis prête.

écrit le Mardi 20 février 2007 à 21:52

"Je t'aime"

Comme j'aimerais te l'entendre dire.
Qui que tu sois, où que tu sois, quoique tu fasses à cette heure où j'écris ces mots.
Qu'est-ce que j'aimerais sentir ton souffle chaud sur ma nuque, ton torse collé contre mon dos et te bras m'enserrant alors que tu prononcerais ces quelques mots.
Alors je pleurerais. Je pleurerais de joie, d'amour, de tendresse et d'apaisement.
Et tout en me laissant aller contre toi, je fermerais les yeux, me laissant bercer par la mélodie de ta respiration, et je te répondrais.

"Moi aussi, je t'aime"

le 20/02/07 à 19h50

écrit le Samedi 3 février 2007 à 17:45

"La douleur est un art" phrase tirée de La guerre n'a pas un visage de femme de Svetlana Alexievitch

consigne n°1 : écrire des phrases connues/expressions/etc ... avec le mot douleur, puis lecture à voix haute, en notant les phrases des autres qui vous plaisent.
    - la femme accouchera dans la douleur
    - la douleur était lancinante
    - cloué au lit par la douleur
    - son regard exprimat toute la douleur du monde
    - dompter sa douleur
    - une douleur aigüe
    - la douleur de perdre un être cher
    - le corps comprimé par la douleur
    - l'intensité de la douleur
    - le siège de mes douleurs interieurs
    - hurler de douleur
    - fou de douleur
    - insensilbe à la douleur
    - pétrie de douleur
    - se tordre de douleur
    - le temps de la douleur
    - la douleur de l'âme
    - porter sur ses épaules toute la douleur du monde
    - les affres de la douleur
    - cruelle douleur
    - une vie de douleur
    - un être de douleur
    - un être de douceur

consigne n°2 : transformer les "l" en "c", plus lecture, etc ...
    - la femme accouchera dans la douceur
    - la douceur était lancinante
    - cloué au lit par la douceur
    - son regard exprimat toute la douceur du monde
    - dompter sa douceur
    - une douceur aigüe
    - la douceur de perdre un être cher
    - le corps comprimé par la douceur
    - l'intensité de la douceur
    - le siège de mes douceurs interieurs
    - hurler de douceur
    - fou de douceur
    - insensilbe à la douceur
    - pétrie de douceur
    - se tordre de douceur
    - le temps de la douceur
    - la douceur de l'âme
    - porter sur ses épaules toute la douceur du monde
    - les affres de la douceur
    - cruelle douceur
    - une vie de douveur
    - un être de douceur
    - une douceur inhumaine

consigne n°3 : trouver des synonymes de "douceur", plus lecture, etc ...
    - tendresse                     - soyeux
    - calin                              - contonneux
    - délicatesse                   - sympatique
    - chaleur                         - volupté
    - carressant                    - agréable
    - douillet                         - confortable

consigne n°4 : trouver des antonymes
    - frappé                           - dureté
    - glaciale                         - détestable
    - réche                             - agonie

consigne n°5 : noter deux évenements douloureux tirés d'un film ou d'un livre. Ne pas les dire ;-)

consigne n°6 : écrire, à partir d'un des deux évènements, un texte comportant deux expressions de douceurs et deux synonymes
consigne n°6 bis : -donnée 1/4 d'heure avant la fin- le texte doit être une lettre

Chère maman

    Si tu savais la tragédie qui a frappé notre Izzie, il y a trois jours. Le jour du bal à l'hôpital. Elle avait changé trois fois de robe se soir là. Elle voulait être resplendissante pour lui. Et cela, même s'il ne venait  pas avec elle. Il était encore bien trop tôt après son opération du coeur. Et il était cloué dans son lit d'hopital pour quelques temps encore. C'est à peine s'il pouvait se redresser sans aide.
    Mais elle avait un sourire éclatant et son regard pétillait de joie, alors qu'elle parcourait les couloirs vides. Elle avait encore en tête son regard et toute la douceurs qu'il exprimait lorsqu'elle avait prononcé ce mot : oui. Un mot si simple, qui pourtant aller la lier à lui pour la vie.
    Alors elle voulait qu'il la voit dans sa robe de satin fuchsia et son beau chignon blond. Qu'il sache la vie de douceur, qui l'attendait. Elle souriait toujours quand elle a ouvert la porte et le vit étendu sur son lit, les yeux ouverts, mais que toutes vies avaient déserté. Sur le coup elle fut frappée par la délicatesse de ses traits. Il avait l'air de dormir ... mais les yeux ouverts.
    Lentement, elle s'est approchée de lui et les lui a fermé d'une légère caresse de la main. A peine une brise. Elle a entendut l'infirmière entrer derrière elle, lui expliquer qu'un caillot de sang était venu boucher l'artère, lui dire qu'ils n'avaient rien pu faire, que Denis n'avait pas souffert. Elle connaissait le blabla. Elle était interne dans cet hôpital.
    Elle est allée s'allonger délicatement contre lui, comme pour ne pas le reveiller. Sa robe bruissait à chacun de ses mouvements alors qu'elle allait se lover contre son corps à la chaleur glaciale de la mort. Le monde autour d'elle semblait soudain comme ouaté. Elle avait l'impression de vivre un cauchemar éveillée. Cet après-midi, il la demandait en mariage, et ce soir, il était mort.
    Aujourd'hui, elle est méconnaissable. Comme frappée d'une étrange langueur. Je ne sais plus que faire. Elle a même déposé sa démission et refuse de retourner à l'hôpital. Viens vite à Seattle. Nous avons besoin de toi ici.

Ta maya, qui t'aime

écrit le Dimanche 21 janvier 2007 à 2:32

à mon île ...
Un petit coin de paradis
E
ntre le mer et le ciel
Pareil à un vent de vie
Qui souffle dans mes ailes
Je viens m'y recueillir
Non sans un certain plaisir
Chercher un peu de quiétude
Loin de mes habitudes
Oublier le stress
Etat si cher à la ville
Fuire toute la liesse
Et être enfin tranquille
Observer les étoiles
Se parer seulement de voile
Manger les fruits de la mer
Tout en gardant les pieds sur terre
Jouer jusque tard dans la nuit
A tous les jeux imaginables
Jouer à en oublier la vie
Juste parce que c'est agréàble
Et même s'il faut partir
Je garde le sourire
C'est celui du sage
Car je sais mon futur passage

L'île d'Yeu été 2004
écrit sur le livre d'or de la maison familiale le jour du départ

écrit le Dimanche 21 janvier 2007 à 1:41

[ ... ]

   
J'avais fait un autre atelier d'écriture, il y a maintenant presque trois ans. C'était mon tout premier et celui qui m'a donné envie d'en faire d'autres. Je vous mettrais les productions ici aussi.
    Celui-ci ne durait qu'une heure. La scéance commenceait toujours par un tour de table. Votre voisin de droite disait un mot, vous deviez dire celui auquel ça vous faisait penser le plus vite possible et votre voisin de gauche faisait pareil. l'animatrice disait que ça dépoussièrait un peu notre cerveau. ^^
    Ensuite, on écrivait une petit texte à partir de mots, d'une phrase, d'une photo. C'est ce que je mettrais sur le blog.
    Puis nous finissions par un cadavreexquis. Vous savez ? Mais si !!! Quelqu'un ecrit une phrase sur un papier et le pli de façon à ce que l'on ne voient que le dernier mot et son voisin continue. Ce qui estamusant c'est qu'à la fin d'une séance comme cele-ci, tout le monde est en phase et le texte à du sens. On a souvent bien rit.
   
[ ... ]

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